Avec le greve des surveillants de prison un certain discours s'set répandu à pointer du doigt la "dangerosité" des détenus, comme si les plus de 70 000 détenus étaient tous des fauves prets à sauter à la gorge dheu premier agent.
Comme si la déprime qui ronge les prisons ne tenait pas d'abord à l'institution elle meme.
Dans cette greve les détenus ont été oublié deux fois,dans leurs cellules d'abord,pas de sortie, pas de parloir,sans la moindre activité,sans la moindre promenade,sans douche dans les établissements ou les cellules en sont dépourvues.
Oubliés des revendications comme si les surveillants et les détenus n'étaient pas dans le meme bateau.
Il y a queque chose de pourri dans l'institution de la prison.
O société qui voudrait partout ériger des murs,cacher ce qui gène,tenir à l'écart tout ce qui fait grain de sable dans les rouages du bel ordonnancement,,les vieux,les paumés,les déviants,les improductifs,les inadaptés,comme elle tient désormais à l'écart,les migrants
L'institution de la prison est à l'image de la société:POURRIE